Au-DelĂ
Vous remballez vos affaire et vous remettez en chemin, les yeux et la tĂȘte pleins des merveilles que vous avez vues. Vous atteignez rapidement le petit bois dans lequel un peut distinguer la silhouette d'un grand Ă©lan. Ă cĂŽtĂ©, un homme. C'est Sysyl-Oyun qui vous y attend.
"Voyons, voyons, qu'avons-nous donc lĂ ?
Vous pouvez demander Ă votre costaud de lĂącher ce sabre un moment ? Merci.
Mmmmh, voyons. Ăa ressemble Ă ce qu'on cherche. Un fois rentrĂ©s, je ferai une divination, et dĂšs que votre forgeron aura rĂ©parĂ© la lame, nous essaierons son pouvoir. Tu veux bien, jeune chamane ?"
Vous pouvez maintenant retourner chez les Cornus pour récupérer vos chevaux. En chemin, Sysyl-Oyun vous demande de raconter ce que vous avez vu et fait. Il fronce parfois le sourcils, s'étonne que le héros fût en fait une héroïne, mais acquiesce votre souci de donner un poignard à la défunte et de reboucher l'entrée, car il faut protéger les morts de l'avidité des vivants. Et bon, vous n'avez rien pris d'autre, n'est-ce pas ?
Une fois que vous serez chez les Cornus, leur demandez-vous d'utiliser leur forge ?